Comme j’ai eu la grande chance de passer la nuit sur place, je découvre la magnifique abbaye d’Orval sous le givre au petit matin.
Les ruines sont pleines d’histoires…
La grande Vierge est très impressionnante, au-dessus de l’entrée de l’église (ouverte pour les célébrations uniquement, se présenter à l’accueil avec 10-15 minutes d’avance).
Une première pause avant le départ, tardif comme à mon habitude…
Le chemin reprend dans le prolongement de celui d’hier, le long du ruisseau. Il s’élève rapidement sur le sommet de la colline.
A partir de Villers-devant-Orval, le chemin n’est plus balisé, mais avec un peu de flair et une bonne carte, on peut tracer un bel itinéraire sans croiser la moindre voiture.
Moulin sur la Suquette à « Le Quinze », sur la frontière franco-belge.
Le chemin passe par Herbeuval et rejoint Breux après un troçon très sauvage dans les bois et les campagnes.
Rapidement après Breux, la D110 amène le pèlerin à Avioth, la Basilique des champs.
La Vierge d’Avioth était noire… Repeinte, elle a gardé tous ses mystères…
Un chemin quitte Avioth en ligne droite vers Montmédy. Il grimpe ferme et procure de magnifiques vues en arrière sur la basilique.
Deux promeneurs en quad m’indiquent un chemin peu visible entre les champs, qui me permet d’arriver sans encombre à Montmédy.
Comme le chemin reste tout le temps au-dessus de la colline, on a même le sentiment d’être plus haut que la Citadelle, qui pourtant domine la ville de Montmédy à ue belle hauteur.
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