La plupart des guides sur le pèlerinage recommandent aux femmes de porter un sac ne dépassant pas 10% de leur poids, ou de manière plus concrète (non, je ne vous dirai pas mon poids !) pesant entre 6 et 7 kg. S’en suit en général une loooogue liste de choses à ne pas oublier, de la pharmacie à la garde-robe, ce qui me fait toujours sourire car parfaitement contradictoire avec ce qui précède.
Pour ne pas dépasser 7 kg (les guides ne précisent pas si c’est avec l’eau et la nourriture), mon mari m’a traitée gentiment « d’anorexique du sac » ! En effet, la balance, qui traine généralement sous une armoire, n’a jamais autant servi qu’avant mon départ, pour tester les matelas, sacs à dos et sacs de couchage de la maison.
Sac, sac de couchage et matelas
Ces 3 objets étant en général responsables de 50% du poids du sac, il est vraiment utile de s’équiper en « ultra-light », sans lésiner sur la qualité (éviter une chaine à l’enseigne bleue bien connue et privilégier les magasins spécialisés, nettement plus chers, il est vrai, mais investir dans du matériel durable s’avère économique lorsque l’on part pour plusieurs semaines, voire plusieurs mois).
A gauche : matelas, sac de couchage et draps de soie. Le poncho sert de couvre-sol.
A droite : tenue de grande pluie (admirez les jambières super-sexy ;-))
- Recalés avant le départ : camping-gaz, tente, gamelle, pharmacie complète
- Remballés ensuite : lunettes de soleil, pochette pour contenir le guide et les papiers
- Regretté en route : un gobelet (pliable, ça existe ?) car c’est pénible de boire dans une poche en plastic la nuit et lors des repas !
Garde-robe
C’est assez simple : pour avoir un poids de sac acceptable, il faut faire la lessive tous les soirs et emporter une seule tenue par « activité », à savoir :
- une tenue de marche : pantalon 3/4, tee-shirt « respirant », chaussettes courtes, soutien-gorge (éviter le blanc), une vieille culotte (couleur idem), chapeau en tissu
- une tenue de soirée : robe longue et tee-shirt blanc (luxe), une jolie culotte (pour se faire plaisir après la douche !)
- une tenue de nuit (froide) : caleçon en laine, grandes chaussettes, polaire et tee-shirt à manches courtes, qui sert de robe de nuit
- extra : un chemisier sans manches pour les jours de canicule, un poncho en plastic léger pour la pluie, un bikini sans armatures.
A gauche : la tenue de marche – à droite : la tenue de soirée
J’avais emporté une seconde tenue « de tourisme » ainsi que 2 shorts, mais je les ai remballés après quelques temps, tant pis pour la variété… Par contre, je n’ai vraiment pas regretté ma robe du soir, un peu d’élégance fait toujours plaisir, tant à soi-même qu’aux hôtes qui reçoivent les pèlerins.
A gauche : la version canicule – à droite la version pour temps plus frisquet
Chaussures
J’avais une seule paire de sandales TEVA, de super qualité (genre semelle à clous moulée parfaitement au pied) : pas eu la moindre ampoule, en mettant des chaussettes un jour sur deux, et parfait tant pour la canicule que pour la pluie (en été bien sûr). L’élégance des sandales avec chaussettes est assez relative, je vous l’accorde. Avantage : le soir, pas besoin d’une « deuxième paire de chaussures pour reposer ses pieds ». Et donc un sac plus léger !
En savoir plus sur mes sandales…
Divers
- Essuie de bain (serviette pour les Français) super-absorbant, gant de toilette
- Mini-trousse de toilette (prévoir du savon pour se laver et faire la lessive à la fois)
- Sac en tissu (genre cabas) repliable, super pratique pour les sorties « en ville »
- Draps de soie (sac à viande) : super pratique dans les refuges et ajoute 5°C au sac de couchage, pour un poids de 110 grammes !
- Crème solaire, sparadraps (en cas de début d’ampoule) et pour moi une crème anti-inflammatoire
- Cahier de notes, guide du chemin (je ne pratique pas la photocopie ni l’arrachage des pages, j’aime trop mes livres que j’annote copieusement en avançant)
- Chargeurs pour les appareils ci-dessous (assez encombrants mais indispensables)
- Poche en plastic avec tuyeau pouvant contenir 2 litres d’eau (genre perfusion, très pratique pour bien s’hydrater de façon régulière et sans enlever le sac)
- Coquille Saint Jacques (théoriquement à ramener de Saint Jacques, mais signe de ralliement très utile même pour le pèlerin débutant)
- Bâtons de marche
Dans une pochette ventrale
- Canif suisse avec tire-bouchon (!) : le modèle de l’armée suisse est parfait
- Fourchette et cuiller à café
- Colle, mini-ciseaux et bic pour rédiger son carnet
- Appareil photo, GSM
- Crédentiale, papiers d’identité, carte de crédit, argent liquide
- Cartes de visite (pratique pour donner vos coordonnées et celles de votre blog)
Cet article vous a intéressé ? Lisez aussi :
- Un sac léger, oui, mais surtout un sac compact
- Le poids du sac, le poids des peurs
- Un sac ultra-léger, la liberté et bien plus encore…
Et pour décomplexer tous ceux dont le sac dépasse les 6 kilos, voyez tout ce que je trimbale de complètement inutile ou de loufoque dans mon sac en lisant « Ces inutiles… tellement indispensables !«
Sylvie.Bonjour.
Félicitations pour ton étude sur le sujet très délicat du sac des pèlerins.Une petite suggestion: en plus des 3 pinces à linge pour étendre celui-ci au gîte,prendre 3 épingles de sûreté pour fixer le drap de bain(qui est rarement sec le matin) sur le sac.L’utilisation des pinces à linge dans ce cas est le meilleur moyen de le perdre…et le poids de l’ensemble ne sera guère modifié.Amitiés.Luc et Josette.
Un site joyeux merci pour la bouffée d’air pur.
Cordialement
François
Très drôle, ton 1er paragraphe !
Oui,les gobelets pliables existent. Les quarts ultra légers indispensables pour la soupe soluble du soir quand il n’y a rien d’autre, aussi.
Je continue à regarder ton blog régulièrement et je ne suis jamais déçu.
Jean François
Merci pour tes gentils compliments sur le blog, que je te réciproque totalement et avec grande modestie en comparaison de ton superbe travail. En tous cas, la passion qui nous anime se ressent à travers l’écran, c’est certain !
Bonjour Sylvie,
Le gobelet télescopique existe, je l’ai rencontré ici :
http://www.pixmania.be/be/fr/8156507/art/baladeo/gobelet-de-voyage-telesco.html
Merci pour la bonne humeur et la vitalité qui émane de ces pages.
Éric
Je découvre à la fois le nouveau look du blog – très sympa, quoique j’adorais le précédent – et un article très intéressant, pour quiconque souhaite voyager léger, et pas seulement sur le chemin !
Bonjour,
je suis en train de préparer ma marche vers Saint Jacques et m’inspire fortement de tes conseils. Une petite question : quelle est la contenance de ton sac s’il te plait ?
Merci d’avance de ta réponse,
Agnès.
Mon sac a une capacité de 28 litres. Petit coup de pub (si le modèle existe toujours) : c’est un Deuter Futura 28 AC Pack. Je ne regrette vraiment pas l’investissement.
Les magasins de rando déconseillent un sac « aussi petit » et pourtant TOUT est rentré dedans, y compris le duvet, le matelas, la poche de 2 litres d’eau et quelques provisions…
Et si on prend un sac plus grand, on prend aussi plus de trucs (la Nature a horreur du vide, le pèlerin aussi !).
Merci beaucoup pour ta réponse. Mon sac à dos actuel est un 30L et je pense qu’il conviendra très bien :-).
Cordialement,
Agnès.
J’ai fais comme toi Sylvie, après un premier chemin avec un sac classique de 50 litres + 10 litres… j’ai opté pour un petit sac de 32 litres. On est moins tenté de le remplir.
Mon « truc » à partager: oubliez les serviettes de toilette qui ne sèchent pas, les serviettes spéciales marcheur qui coûtent cher… essayez le petit carré d’éponge plat de 20 cm de côté (ça pèse 20 gr). Il en faut deux. Ca sèche très très vite.
Très intéressant et sympa ton blog. En ce qui concerne « la serviette », après différents essais, j’ai opté pour le paréo qui sèche très rapidement et de plus très utile pour sortir pudiquement de la douche lorsqu’on ne peut pas y déposer ses vêtements surtout dans certains gîtes en Espagne. Pour le sac, j’ai poté pour un « raidlight » de 40l qui pèse 630gr.
Bonjour,
J’envisage de partir sur les chemins dès le mois prochain et j’organise une réunion d’informations sur les chemins de Saint Jacques avec projection d’un film ce samedi 10 mars à p. de 15h (ou 17h après la projection).
Si vous êtes vous aussi en préparation pour parcourir les chemins encore cette année et que cette réunion vous intérresse contactez-moi vite car nous avons encore 1 place de libre…µ
Buen camino…
Je partage l’avis de Luc; les épingles à nourrice sont, à mon sens, plus pratiques que les pinces à linge.
Pour la préparation des pieds le matin, j’ai utilisé la crème Nok Akileine. Je l’ai trouvée plusieurs fois dans mes lectures d’avant départ. On la trouve dans toutes les pharmacies.
Une pochette en plastique pour contenir les cartes de visite ou adresses des personnes rencontrées m’aurait été utile.
Dans la trousse à pharmacie, les fameux « compeed » sont bien pratiques pour eviter et/ou soigner les ampoules, mais je trouve que çà ne sert à rien de trop en prévoir car on en trouve aussi dans toutes les pharmacies et surtout, ils s’altèrent avec la chaleur (durcissent et sont inutilisables)
Vraiment super ton site Sylvie! Emotions en reconnaissant certains paysages, monuments, bâtisses,… Bravo
Bonjour Sylvie !
Malgré de l’arthrose aux 2 hanches (64 ans !), j’envisage de partir pour Compostelle, et en suis à la phase d’achat de matériel.
Je voudrais acheter des bâtons Leki comme toi, puisqu’ils t’aident pour ton problème de genoux. Dans cette optique, pourrais-tu stp me préciser la référence (… si possible) de tes bâtons ? Sont-ce des bâtons de marche nordique, ou des bâtons de randonnée ?
Un cordial merci d’avance!
Jean-Marie
Bonjour Jean-Marie,
Je pense qu’il s’agit de bâtons de randonnée. Ils appartenaient à mon Papa qui avait très mal aux genoux et qui vivait en Savoie. Je n’ai malheureusement pas la référence. Mais mieux vaut un bâton solide et avec une « pique » au bout (pour épargner les articulations, toujours marcher sur les bas-côtés, JAMAIS sur le bitume).
Bons préparatifs !
Bonjour Sylvie,
site de matériel ultra léger, dont tasses pliables….
http://www.raidlight.com/boutique/product.php?id_product=2579&id_lang=2
tu laves tous les soirs ? Mais quand il pleut, ça ne sèche pas, comment fais-tu le lendemain ?
Si ce n’est pas sec, je remets les vêtements humides et ils sèchent sur moi en quelques minutes. Si il pleut, c’est quand même mouillé après 5 minutes. Cette année, j’ai souvent lavé mes vêtements dans les ruisseaux, en pleine journée, les étalant au soleil tandis que je me séchais puis repartant propre comme un sou neuf. Il faut dire que c’était l’été et qu’il a fait très beau !
Bonjour sylvie, pas de hasard…j ai vu franck hier avec lequel je suis arrivée à compost elle le 22juillet. Il m à dit te suivre sur face book et que tu avais vu Laurent de gap! Donc c est bien toi la sirène de lundi à qui j ai parle sur le portable de Laurent…c est génial.
Coucou Caroline ! Hi hi hi, le mot sirène était un peu exagéré. Mais c’est trop génial si nous restons en contact après ces rencontres croisées ! Je t’embrasse et espère que tu continueras à suivre ce blog 🙂
Bonjour,
J’aurai aimé savoir le type de matelas que vous utilisez
Bonjour Sabine,
Le matelas est un ancien modèle de la marque Thermarest. Vous le verrez mieux sur http://www.radiocamino.net/pratique/un-sac-leger-oui-mais-surtout-un-sac-compact. Le modèle ne se fait plus mais les nouveaux matelas de cette marque sont encore plus légers et nettement plus confortables. Leur texture ressemble à la poche que l’on met dans les cubi de vin (!!!). Le budget est élevé mais cela vaut la peine si on aime dormir dehors !
Une seule tenue c’est un peu juste mais c’est pour la bonne cause 🙂 Merci pour ces bons conseils.
la composition de ce sac ne vaut que pour des conditions climatiques idéales.
lorsque tu seras passé sur l’aubrac en avril à ZERO degré + neige , ou sur le GR10 à 1500m d’altitude par 10°C et un vent glacial, tu verras qu’il faut rajouter au moins 1kg (polaire, coupe-vent) ; et quand tu auras subit 4 jours pleins de pluie et ciel gris, ton rechange unique sera insuffisant ; et quand tu pataugeras dans 10cms de boue, comment seront tes thongs aérés ? ;
plus un mini-duvet (600gr) pour les refuges sans couvertures (si , ça existe, surtout en espagne)
Bonjour je decouvre ce site sympa. J’ai parcouru la France en mai 2013 bien gâtée par le temps froid et très humide et un sac de 8kgs eau incluse; Je repars jeudi camino Frances sans duvet, sans tente, et j’essaie d’alleger encore. Sac à vide 1300gr c’est trop. Merci
Bonjour Sylvie.
J’ai un genou enflé alors que je dois partir le 18 août sur la voie du Puy.
Peux tu me dire si tes « jambières » pourraient m’aider à marcher en association avec du voltarène ?
Si oui, quelle marque et ou les trouver ?
Merci beaucoup.
Marité
merci, vos conseils nous sont très utiles
Tout est dit ici
Hello,
j’ai terminé la liaison des 4 caminos France sur St jean PdP ( Mt st Michel, Vezelay, Arles et Le Puy) et je vais terminer mi-mai sur Santiago par Camino Frances.Les conseils logistiques seront très appréciés ( climat pour confection du sac, »propreté » des albergues pour repas et couchage…) D’avance merci!!!
Waouw, très fort ça de parcourir les 4 chemins français avant l’Espagne. J’en ai parcouru deux (Cologne – Vézelay et Genève-Le Puy)… Et le troisième à vélo ! Je pense que vous n’avez plus grand’chose à apprendre sur la vie de pèlerin :-))) Quelques infos sur le Camino Frances :
– http://www.radiocamino.net/pratique/mes-etapes-belle-etoile-sur-le-camino-frances
– http://www.radiocamino.net/itineraire/mes-hebergements-coups-de-coeur-sur-le-camino-frances
– http://www.radiocamino.net/itineraire/les-variantes-a-ne-pas-manquer-sur-le-camino-frances
– http://www.radiocamino.net/pratique/les-meilleures-baignades-sur-le-camino-frances
Bonjour, merci pour tous ces conseils. Nous partons samedi mon mari et moi même pour 7 jours de marche sur la voie de tours entre gradignan et dax. Ns avons réservé nos hébergements,. C’est une première pour nous, la découverte des chemins de st jacques de Compostelle . Nous sommes randonneurs et nous voulons tester notre capacité à marcher entre 20 et 25 kms chaque jour. Ns ne prenons pas de tente.
Je pense partir pour ST Jacques fin mars début avril suivant le temps.Mon sac fait 51 l, je part avec la tente et le nécessaire pour l’autonomie. En effet je ne peux pas prendre les gîtes tout les soirs.Donc je compte dormir a la belle étoile le plus souvent possible. Quand pense tu? et quelles conseils peut tu me donner?
Merci
Génial ! Un bon sac de couchage est recommandé pour ne pas avoir froid 🙂 D’où partiras-tu ? Bon chemin !!!
Tout dépend du point de départ et durée.
Puy en Velay : froid assuré sur l’AUBRAC, et neige possible , sauf miracle ! Pluie possible sur plusieurs jours, donc bien prévoir les vêtements suffisants. . Prévoir 1 jour sur 3 ou 4 , au moins, en gite ou refuge. Beaucoup de campings sont fermés en avril, donc camping sauvage en France (assez facile), mais en théorie interdit en Espagne. Fin avril , col de Roncevaux très possible enneigé (risque au moins jusque mi-mai). Sac 51L un peu faible pour autonomie à UNE personne. problème essentiel en France : le ravitaillement , et en Espagne : l’eau (mais restaurants pas chers) . voir mon site chabant.fr
Merci Sylvie pour tes précieux conseils « dédramatisés » !! Tu as une façon d’aborder le voyage avec simplicité qui met plait bcp… Je pars début juin pour faire Le Puy-St Jean. Je cogite à fond sur le choix du sac. J’ai vu de bons commentaires sur Amazon sur un sac Mountain Warehouse Ventura 40l à 45 euros. Faut-il vraiment privilégier une marque reconnue ??? Merci de tes conseils…
J’ai eu un gros souci avec un sac Wilsa, marque moins connue, c’est que les attaches (clips) se détachent ! Le clips ventral notamment, et ça c’est catastrophique pour les épaules. Donc attention avec les marques moins connues….
Il n’y a pas un bon sac universel.
depuis les antiques sacs scout Millet à armature rigide d’il y a 50 ans jusqu’aux sacs d’alpinistes, super techniques, il y a plein de petites différence que l’on ne voit qu’à l’usage. La capacité qui doit être adaptée aux affaires à amener ( je suis passé d’un 65 L à un 55L , mais un 45L serait pour moi trop faible pour 3 semaines ou plus de rando), à la saison (froid ou chaud), aux réglages des bretelles (sac porté plus ou moins haut), à la sangle ventrale, aux poches extérieures ou non, au poids du sac , à la solidité du tissu (et son imperméabilité), aux sangles qui permettent de fixer des objets à l’extérieur, à la hauteur de la lanière qui empêche les bretelles de glisser (problème pour les femmes à la poitrine ) etc ..
depuis 5 ans, mon sac actuel est un Gelert Shadow (Amazon 75€) , il me convient très bien, sauf un détail ennuyeux. j’en ai acheté le meme pour mon épouse, mais elle n’aime pas, pour sa stature et sa maniere de porter, elle est revenu à son antique sac Décathlon plus large et moins haut.
le détail, c’est la couture fixant le rembourrage des bretelles, que j’ai du améliorer en faisant coudre jusqu’en bas par un cordonnier !
Bonjour Sylvie,
Question poids : quand on parle de 10% à porter maxi, c’est eau comprise ? Car un litre d’eau, ça pèse 1 Kg !
Très beau blog, sinon.
à bientôt !
Je ne compte pas l’eau car son poids varie de 2kg en début de journée à 0 en fin d’étape 🙂
c’est une grosse erreur de ne pas compter l’Eau ! quand il est conseillé de ne pas dépasser 15% (et non pas 10%) , soit 12kG pour une personne de 80KG , c’est Y COMPRIS le poids d’eau , c’est le poids total du sac à dos au moment du départ !
Et pourquoi pas ignorer aussi le poids de la nourriture, au prétexte que ce qu’on mange le midi (ou le soir), va disparaitre du sac ?
Bonjour je terminerai le chemin d’Assise l’an prochain en mai 2019 et je vais lire ton blog qui peut avoir des idées à glaner.
Merci
merci pour tout les renseignement .je part pour le del norte 29 juillet avec ma fille ,pour moi ces une première .j’ai un sac 30 litre j’espère que je ne souffrirai pas trop mais ces pour une bonne cause merci
Super utile merci !!
découvrant ce site et le blog sur le poids du sac , je suis du meme avis qu’un autre GUY , du 22 juin 2013.
Je doute qu’on puisse descendre à 6kgs , sans eau ni nourriture, sauf certitude de conditions climatiques idéales, et encore SYLVIE semble emporter un matelas et un duvet , ce que je ne fait jamais sur les chemins de Compostelle (mais OK sur le GR10 ou le GR20 par exemple).
Et surtout marche qu’avec des sandales ouvertes ! AUBRAC : j’ai pataugé dans une prairie imbibée de 15cms d’eau ; chemins inondés totalement sur 15m de flaque d’eau ; passages de gués ; neige au col du Somport un 1er avril ; neige vers le Mont Mezenc en fin Mai ; tempête de neige sur le Stevenson un 2 juin ; etc …